Cet élément est aussi appelé « filtre d’habitacle », il contribue au fonctionnement du système de ventilation, de climatisation et de chauffage. S’il est bouché ou sali, l’entrée d’air est altérée et entraîne un dysfonctionnement de ces rouages. C’est pourquoi, il doit être changé au moins tous les 200 000 km ou chaque année.
Comment remplacer un filtre à pollen ?
Pour y arriver, il faut d’abord connaître son emplacement qui diffère d’un véhicule à l’autre. Quoi qu’il en soit, il se trouve généralement derrière la boîte à gants, le moteur, la console centrale ou sous la plage du pare-brise. Dès que vous l’aurez localisé, n’hésitez pas à enlever la grille d’auvent, puis le filtre usé. Le montage du remplaçant est plutôt simple, il suffit de suivre la direction d’une flèche inscrite dessus en respectant le sens de flux d’air et le tour est joué. Mais avant, profitez-en pour tout nettoyer. Et n’oubliez pas de remonter la grille d’auvent, une fois le travail terminé.
Tous les filtres sont-ils tous les mêmes ?
La réponse est non, mais heureusement, ils peuvent être inter-changés. Seulement, il faut que le modèle puisse au moins correspondre à celui de votre voiture. Vous pouvez donc opter pour la version classique qui se reconnait par sa couleur blanche. Sa principale utilité est de décanter les pollens et les atomes présents dans l’air. Et si en plus de cela, vous voulez rendre la qualité encore meilleure, opter pour le filtra à charbon actif coloré en gris. Composés organiques volatiles, fumées et odeurs ne pourront pas le traverser. Sinon, optez pour le meilleur de tous, celui qui coloré en orange et traité au polyphénol. Ce dernier réunit toutes les qualités des autres modèles et il est capable de réduire de 92 % les molécules intransigeantes.