Le nombre de voitures électriques enregistrées aux Pays-Bas (batterie + hybride) a maintenant franchi la barre des 200 000. Le nombre de bornes de recharge augmente également rapidement. À la fin de l’année dernière, vous pouviez déjà recharger votre voiture dans plus de 50 000 emplacements.
À mesure que le nombre de voitures électriques continue de croître, la capacité de stockage combinée de toutes ces batteries augmente également. Cela offre des possibilités de stockage d’électricité à partir de centrales solaires et éoliennes chaque fois que plus d’énergie est produite que utilisée. La technologie parfaite pour cela serait un système de charge inductif. Cela implique une transmission d’énergie sans fil à l’aide de champs magnétiques. Cependant, il n’est pas encore clair quels effets ces champs électromagnétiques ont sur les organismes.
Une solution élégante
Les participants au projet de recherche Feedbac-Car ont jusqu’à la mi-2020 pour explorer le potentiel de la recharge sans fil des véhicules électriques par induction, c’est-à-dire en utilisant des bobines d’émetteur et de récepteur. Soit dit en passant, il ne s’agit pas seulement de recharger, mais aussi de restituer le surplus d’énergie au réseau électrique en cas de besoin. Cet avantage supplémentaire pourrait rendre la mobilité électrique encore plus attrayante.
Voici des tests avec la recharge sans fil :
Cela semble être une solution élégante. Mais la charge inductive a-t-elle des effets secondaires ? Après tout, un champ magnétique est créé pendant le transfert d’énergie. Contrairement à un faisceau laser, par exemple, ce champ n’est pas clairement défini. Il se disperse. Bien que ce champ diminue considérablement à mesure que la distance des bobines augmente.
Les effets potentiels de la charge sans fil
La recherche vise à répondre à la question de savoir si les champs magnétiques générés par la charge inductive ont des conséquences biologiques. Jusqu’à présent, peu de recherches ont été effectuées.
Ils étudient divers paramètres, tels que le développement, le comportement et les taux de survie. Ils ne peuvent pas approfondir cela qu’une fois qu’ils ont trouvé certains effets. Mais il est encore trop tôt pour cela. Ils doivent d’abord publier leurs résultats.